Un p’tit bout femme sadique

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 4 ans

Je l'ai rencontrée sur le forum BDSM de Fessestivites où elle m'a repéré. Après coup, je ne sais dire lequel des deux chassait l'autre.

Mimine13 est un p'tit bout femme d'un mètre soixante environ, avec la corpulence d'une gamine malgré ses vingt-cinq ans annoncés. Ses cheveux bruns mi-longs contrastent à merveille avec ses yeux bleus et sa peau claire, son caractère espiègle m'a séduit tout autant que ses petits seins que je devinais sous un tee-shirt à l'effigie d'ACDC.

Dès la première minute de notre rencontre à la Samaritaine, une brasserie connue pour les rendez-vous sur Marseille, elle est entrée dans le vif du sujet sans s'encombrer de palabres inutiles.

  • Es-tu bien sûr de ne pas crier « maman » en moins de trois minutes avant de détaller comme un lapin ?

Lors de nos échanges webiens, j'avais pu constater que piquer la fierté masculine est son truc pour jouer et chercher à déstabiliser, mais ayant un vécu autant S que M, ce n'est pas une jouvencelle de ce gabarit qui allait m'impressionner.

  • Vous êtes charmante en cactus déguisée !

  • Chante beau merle ! Fut sa seule réponse avant de se lever puis de m'indiquer la sortie d'un coup de tête directif sans attendre que je ne règle les consos non consommées.

A peine arrivée dans son appartement, situé quelque part du côté de « La plaine » au-dessus d'un magasin, un ordre est tombé.

  • Retire tes chaussures, tes chaussettes, ta chemise et passe les bras dans le dos.

Pendant que j'ouvrais les boutons de mes doigts tremblants d'émotion, elle a extrait des menottes d'un tiroir puis s'est amusée de ses petites mains à les faire tourner en m'adressant un sourire d'une lèvre en coin pincée par une dent blanche acérée. Hummm je me souviens encore de l'image fort prometteuse de Mimi13 bien décidée à tenir ses promesses.

  • Fait le beau tant que tu le peux ! M'a intimé la belle en fermant les bracelets au-dessus de mes coudes avant de croiser les menottes pour les refermer sur les poignets opposés.

Je ne connaissais pas cette façon de menotter, elle fait ressortir les épaules tout en empêchant les mains de descendre vers la zone fessière. Le dernier clic sellant mon sort pour une soirée chaude avec cette jouvencelle apprentie maîtresse, charma mes oreilles malgré un signal d'alarme clignotant au milieu de mes neurones embrumés.

Le parfum émanant de sa petite tête brune penchée sur ma poitrine un instant caressée du bout de ses ongles de rouge vernies, envoûtait déjà mes sens. Du fond de ma culotte, je percevais un déploiement certain, néanmoins légèrement contrarié du manque d'espace. C'est lorsque qu'elle a mordu mon sein droit que j'ai commencé à me dire que les piques de ses messages étaient en parfaite adéquation avec ses canines acérées.

Agité sur mes gambettes par cette morsure douloureuse, je contenais difficilement mes gémissements en ayant réellement peur qu'elle me sectionne le téton. Devant son acharnement j'ai fini par baisser les bras, (façon de parler) pour la supplier de modérer ses ardeurs.

  • Tu fais moins le beau maintenant !

  • Mais tu as failli me le couper !

Une gifle magistrale réprima le « tu » et le fait que j'ai osé m'exprimer. Ce p'tit bout de femme ne correspondait pas du tout à ce que j'avais imaginé dans mon caryotype fantasmagorique sur les dites dominantes. La taille du corps, des seins et l'âge, ne sont pas obligatoirement proportionnels aux capacités !

Mes expériences antérieures ..... au panier !

Mimie13 m'attrapa par les cheveux pour me conduire devant son canapé rouge où elle prit place pour s'attaquer à la ceinture de mon pantalon. Debout face à elle, la vue plongeante dans son chemiser, j'appréciais du regard sa poitrine puis ses petites mimines par mon bouton agacées. L'une d'elle abandonna son office pour porter un coup à mes bijoux de famille, ce qui me fit rentrer le ventre et facilita l'ouverture du jean récalcitrant qui ne tarda point à glisser sur mes cuisses, accompagné de mon slip noir. Le service trois pièces exposé face à son regard amusé, j'éprouvais une gêne éphémère en me déployant.

  • Les mecs aiment bien que l'on se rase la chatte mais ne se rasent pas de peur que leur masculinité ou virilité, que sais-je, ne soit atteinte. Il faudra que l'on remédie à ce manque d'hygiène et d'esthétisme.

La prise en main de ma verge et des orphelines par ses doigts chauds, me combla un instant mais juste un instant ! ! ! La petite mimine se mit à malaxer les précieuses olives comme si elle avait décidé d'en faire de l'huile, pendant que le cactus en folie lâchait son venin piquant en propos terriblement désobligeants sur la taille de mon Popaul pourtant respectable dans les dimensions.

N'ayant rien à prouver, ce n'est pas le fait qu'elle critique abondamment ma virilité qui m'a fait perdre de ma superbe, mais les douleurs émanant de son proche voisinage aux prises avec le moulin fait de doigts devenus pressoir. Menottés et avec les pieds empêtrés dans mon pantalon, je ne pus que subir les affres de sa poigne en respirant bruyamment comme un fou entre mes mâchoires serrées.

  • Bien ! Maintenant que tu as compris qui je suis, tu vas sagement dégager tes jambes de tes frusques et te mettre à genoux pendant que je prends mes aises.

Planté là au milieu du salon par l'énergumène devenue sauvageonne, j'obtempérais en me disant que tout cela n'était qu'une mise en condition et que les douleurs agréables accompagnées de contraintes érotiques devraient suivre. Son retour ne détrompa nullement mes espoirs. Seulement vêtue d'un mini slip et d'un soutien-gorge assortie la cruelle au corps de jouvencelle fit son apparition avec un sac Carrefour et une cravache ce qui m'inquiéta un peu je l'avoue.

  • Tu ne pensais quand même pas que j'allais t'offrir un striptease sans que tu ne le mérites ? Me dit Mimie13 en s'asseyant devant moi avec son sac à la main. Tu disais aimer les pinces à sein, mais que veux-tu, je n'en ai point, alors nous utiliserons celles pour mon linge.

La pose de la première sur mon téton gauche encore vierge de ses attentions fut agréable mais pour le droit, cela généra quelques douleurs suite à sa morsure précédente et bien réelle. Elle n'en resta pas là. Non, non ! Elle s'est lancée dans l'Art contemporain !

Mimie13 s'est mise à jouer avec les couleurs pour m'en mettre de partout sur la poitrine même sur les zones qui ne sont pas érogènes. Lorsqu'elle m'a demandé de me lever, j'avoue que face à son regard de louve sournoise, l'inquiétude grondait en moi et mon organe génital accompagné de ses petites noisettes n'était pas fier.

Comme je tardais à m'approcher, ses ongles acérés se sont plantés dans mes testicules, non pas pour palper ces merveilles avec la douceur qu'elles méritent, mais pour faire en sorte que leur propriétaire les suive illico. Ce p'tit bout de femme dangereuse et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire, me fit effectuer un quart de tour pour exposer mes joues fessières à sa cravache qui s'abattit deux fois avec grande conviction. Oufffff.

La douloureuse surprise du premier fut suivie d'un deuxième sifflement dont vous imaginez les effets cuisants. L'inquisitrice réincarnée en Mimie13, n'y étant pas allée de main m o r t e, j'ai crié et mes yeux se sont humidifiés je l'avoue sous les traits de feu. Les principes de la montée progressive en douleur, la jouvencelle ne connaissait pas ou feignait de ne pas savoir prenant son plaisir à me faire vraiment mal.

Sans aucune réfutation, je l'ai donc laissée épingler tout ce qu'elle a voulu là où elle a voulu. Cela pinçait beaucoup, cela chauffait aussi, mais c'était quand même moins douloureux que la véritable cravache. Soudain, l'idée saugrenue de faire des photos lui ait venue. Elle alluma son ordinateur et prit son numérique pour me mitrailler sous toutes les coutures dans cette situation délicate, malgré mes réfutations appuyées et tentatives désespérées pour fuir l'objectif.

Après avoir connecté l'appareil photo à son PC, elle a saisit mon sac pour en extraire mon portefeuille. Ce qui m'a fait bondir ce n'est pas les quelques euros qu'il contenait mais le son significatif du modem. Elle allait télécharger les photos. Faisant fi de sa cravache et de toutes épingles gênant mon déplacement, je me suis précipité sur elle pour manifester mon opposition catégorique. Un coup de pied bien ajusté entre les jambes et sur les épingles stoppa soudain mon élan. A genoux, le souffle coupé par un mal de chien entre les gambettes, une voix s'est répercutée dans mon crâne embrumé.

  • Tu te calmes ou je te massacre. Je ne vais pas te voler ni chercher à te dévoiler sur le Net, je prends seulement des précautions en les adressant à Cathychouchou.

Dans sa bouche, l'expression « tu te calmes ou je te massacre » prit une dimension effrayante proportionnelle aux multiples douleurs lancinantes de la zone centrale de mon anatomie. Les quelques neurones encore en état de réagir, me poussèrent à lui demander poliment d'avoir l'élégance du vainqueur en choisissant une autre personne. (Cette garce de Cathychouchou étant bien capable de les faire passer sur FR3 et deux ou trois dizaines de sites Internet histoire de rire grassement sur mon dos).

De négociations en négociations, Mimine13 accéda à ma requête. OUF !

La suite de cette chaude soirée avec cette jouvencelle (pas réellement apprentie maîtresse, comme je le disais au début de ce texte) se déroula plus sereinement. Etre obligé d'embrasser ses petons, (ce qui n'est pas mon truc) ne fut pas bien difficile. Déposer des kyrielles de baisers sur ses jambes puis sur la peau de velours de l'intérieur de ses fines cuisses séduisit mes lèvres gourmandes. Lorsque sa main agrippa mes cheveux pour conduire mon visage sur le fin tissu de son mini slip, les fragrances de son désir furent captées par mes sens olfactifs. Ils se firent un plaisir d'encenser mon cerveau qui ordonna immédiatement une manifestation virile mais hélas douloureuse.

Le Popaul n'en pinçant pas pour les épingles, en éjecta deux lors de son déploiement intempestif. Ouffffff la peau ouffffff ! Devant ma dévotion câline pour sa zone dite sensible, la belle prit ses aises en soulevant les jambes pour retirer le rempart devenu gênant pour une dégustation clitoridienne. Sans aucune pudeur dans le geste, elle exposa à mon regard ému toute la splendeur son triangle érogène aux lèvres délicates.

Nul besoin de guide, pour me conduire à son jardin secret, mes lèvres savaient ce que l'on attendait d'elles. Plongeant avec conviction sur son pubis entièrement épilé, j'ai savouré avec une indicible joie ses adorables parfums et saveurs féminines avec la réserve nécessaire pour ne point la brusquer. A nous deux, jouvencelle cruelle !

Ma langue, décidée à tenter son premier prix de virtuosité, sollicita délicatement l'écrin clitoridien sans en agacer réellement la perle san guine exposant désespérément sa volonté d'être lutinée. Elle l'abandonna pour caresser l'extérieur d'une lèvre dans une descente retenue, pour venir chagriner la porte de la grotte aux merveilles avant de remonter de l'autre côté des chairs intimes frémissantes.

Et là, jouant la diabolique, elle agace furtivement le petit trésor avant d'entreprendre un glissando séparateur de nymphes épanouies sans pour autant s'abandonner réellement au cœur du puits de tantale puisqu'elle l'agaça simplement d'une lichette provocante.

Elle s'est crispée en poussant un grognement de félin. Ma langue coulissant à deux ou trois reprises verticalement est finalement venue se stabiliser un instant sur son petit bouton d'amour. Mimie13 me retint par les cheveux pour me plaquer contre son ventre et m'inviter à lui brouter le minou avec plus d'enthousiasme mais je ne l'entendais pas ainsi.

Par une aspiration agressive et une plongée obligée de mon visage, ses tendres chairs intimes prirent place dans ma bouche ventouse. Les dents légèrement serrées, je les retins dans leur fuite pendant que ma langue fouinait tel un serpent pour titiller l'ergo piégé. Ses mains sur mes cheveux se firent plus agressives, mes dents aussi, elle abdiqua. Aussitôt, ma boulimie câline repris son office et la belle se mit bientôt à haleter.

La sentir vibrer sous mes lèvres était un ravissement mais le jeu par moi décidé ne dura pas.

  • Achève-moi ou je te massacre ! Supplia la belle en flattant ma cuisse de sa cravache soudain douce.

Alors dans un élan de compassion, pour ne pas dire un acte altruiste, je l'ai conduite en quelques mouvements aux délices de la jouissance. Sa minette toute émoustillée, s'est abandonnée aux contractions en libérant de généreuses gerbes liquoreuses par mes lèvres gourmandes appréciées. Ma langue s’est installée en la grotte intime telle un petit pénis inquisiteur pour attendre sagement tapie dans l'ombre la fin des tremblements.

La tempête passée, Mimie13 a retrouvé ses esprits et sa position stratégique mais avec les yeux légèrement vitreux.

  • Salopard tu m'as faite languir !

  • C'était pour mieux vous contempler, vous êtes si belle quand vous vous abandonnez !

  • Tu ressembles à quoi toi quand tu jouis ?

  • Cédez-moi votre place pour le savoir !

  • Là tu rêves !

  • Je crois qu'il est temps de me libérer !


Elle m'a libéré des menottes, je me suis libéré des pinces en trop grand nombre et devenues franchement douloureuses. Quand je me suis approché d'elle, elle m'a embrassé sauvagement et m'a encore mordu en me repoussant, comme craintive d'une autre conclusion. A sa requête de me caresser devant elle, je n'ai pu accéder, le Popaul douloureux le refusait, mais je crois c'est parce que je n'étais plus dans le trip.

Devant la porte elle m'a demandé si je reviendrai je lui ai répondu peut-être.

TSM

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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